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EOsetebaRH 2008 #1

Concert Broken Nuts le vendredi 1er fevrier au bar La Plage (rue Solferino) vers 21h. Venez nombreux voir le plus grand groupe de rock du monde. PS: Nous sommes toujours les meilleurs! PS': Et les filles sont là pour égayer notre bas ventre etc,etc.

What the fuck is going on in France!

Juste pour vous rappeller que nous sommes toujours les meilleurs.

Who's next (1971)

Classique des classiques, cet album marque la synthèse parfaite entre un rock dopé aux amphétamines et l’arrivée de la musique électronique avec ses guirlandes de synthétiseurs (« Baba o’Riley » et « Won’t get fooled again »). La pochette à elle seule, résume idéalement l’opus. Un bloc de ciment, brut mais parfaitement géométrique, fait la jonction entre un sol volcanique et un ciel d’un bleu « gitanes ». Au pied de cette « antenne » se tient le groupe. Leur message est clair: ils urinent sur ce bloc. Ainsi, les Who semblent refuser leur statut de demi-dieu, acquis après Woodstock et l‘Isle de Wight, se condamnant à vivre parmi leurs semblables, au milieu de cette terre aride et sans fin.

Dès la première plage, on a compris: fini les facéties acoustiques de « Tommy ». Townshend, comme à son habitude, développe un jeu rythmique incroyablement violent et rancunier: les deux bouteilles de cognac quotidiennes semblent porter leurs fruits. Moon tente de mater sa batterie comme s’il s’agissait d’un animal féroce. Et là, les Who n’inventent rien, mais font du rock, du vrai. Le meilleur possible. Townshend semble avoir eu du nez (pas mal le jeu de mot, non? Sfsfsfsfsfsfsffsfs). Les VCS3, A.R.P et autres synthétiseurs se fondent parfaitement dans l’avalanche de guitares saturées, de basses monstrueuses et de voix écorchées par moment, parfaitement cristallines à d’autres.« Bargain » est une chanson d’amour perdu. Elle s’adresse paradoxalement à Dieu. Au milieu d’un fracas de décibels, « getting in tune » ou « the song is over » ne vous feront sûrement pas verser une larme mais, je l’espère, vous sensibiliseront à la beauté d’une mélodie réussie. « Going Mobile » est l’une des réussite de l’album; hymne ultime aux Vespa, il renoue avec le passé « mods » du groupe. « Won’t get fooled again », à la manière de Machiavel dans « Le Prince », est un traité d’étude politique sur le cynisme des dirigeants.

Un album comme celui-là, il n’y en aura plus jamais. Et maintenant, à qui le tour? (who’s next pour ceux qui parlent pas anglais…)

Fun House (1970)

En ce début des 70’s, le monde du rock est en deuil. Il a récemment perdu trois de ses plus illustres représentants : Janis, Jimi et Jim. Les Beatles ont implosés et les Stones cherchent un second souffle sans leur mythique chaman, Brian Jones. Et c’est au milieu de cette torpeur générale que quatre kids de Détroit vont réinventer un genre divin, en tentant paradoxalement de faire le plus de bruit possible.

Ron Asheton s’emploie donc à cisailler des riffs rugueux et dégoulinants de méchanceté. Son frangin, Scott, en profite pour martyriser ses fûts au moyen d’un jeu lourd et primitif, proche d’un Bonham ou d’un Moon. Dave Alexander lance de sombres et lourdes décharges de basse, courant le long de l’échine et sonnant comme le largage d’un B-52 (écoutez donc « Dirt »). Iggy, quand à lui, dirige à la baguette ses droogies : ses cris hystériques, savamment disposés, rythment parfaitement la rondelle.

Et, c’est parti pour quarante minutes intenses d’ultra violence. L’opus sent le pneu cramé et l’alcool frelaté. Kubrick semblerai presque s’en être inspiré pour son « Orange Mécanique ». Les Stooges sont-ils les Beethoven du XXème siècle ? On en conviendra que la lourdeur et le pessimisme de leur musique s’en rapproche. « L.A Blues », plus de 35 ans après reste inécoutable à jeun. Les riffs font mouche dès la première écoute : « 1970 », « Dirt », « Loose »…La défonce est partout dans l’album.

Néanmoins, avant d’être une œuvre d’une forte puissance cathartique, « Fun House » révèle d’abord un état d’esprit, sorte de coup de pied au cul, d’un rock qui avait de plus en plus tendance à s’intellectualiser avec l’émergence du mouvement « prog ». Les Stooges, c’est : « Fuck that shit, we don’t care » (Loose).

Ceux qui pensaient que le punk était né en Angleterre avec les Pistols, écoutez donc “Fun House” et délectez vous de cette ultra violence typiquement américaine. Welcome to the Fun house.

Statistiques

75 visites le mois dernier, ça fait plaisir je trouve.

18 ans, c'est un grand.

Ca y est, votre bassiste favori a 18 ans. Il permet ainsi au Broken Nuts de changer de catégorie et de devenir des djeun's cool mature. Fini les moqueries et les foutages de gueule, c'est reservé au genome meme s'ils sont en avance sur leur âge...

Maxence Charavay Tour #5

Les Broken Nuts joueront le samedi 20 mai 2005 à 22h à l'hippodrome de Marcq en Baroeul, dans la grande salle, dans le cadre des festivités de l'APAJ. Bon je sais que vous êtes zaraf de pas jouer à notre place parce que vous êtes tous des nuls, mais vous pouvez toujours venir voir jouer le plus grand groupe de rock du monde avec leur leader (l'intellectuel maudit) charismatique.

PAF : 2 euros, pour l'association "les clowns de l'espoir" (je sais le nom peut laisser place à de nombreuses blagues houleuses, alors fermez là)

Abbey Road

Rubrique avec un style melo-dramatique de nos albums favoris.

Abbey Road, où l'album qui a définitivement mis les points sur les "i" de la pop et du rock évoluant à grande vitesse en cette fin des 60's. Confrontation du génie mélodique beatlesien avec des problèmes plus humain comme l'argent, la drogue...Tous les styles s'y rencontrent, s'y heurtent et s'y frottent pour donner vie à un testament d'une carrière hors du commun. En effet, il est difficile d'associer Abbey Road avec les tensions au sein du groupe tant l'opus parait soigné.

La rondelle débute sur des tubes plus radiophoniques les uns que les autres (Come together, something...) et se poursuit en face B sur un opéra magistral. "She's so heavy" pu l'héroïne et "You never give me my money" suinte de rancoeur. C'est aussi l'émancipation de beatle george avec les sublimes et frais "Something et "Here comes the sun". Sur "the End" McCartney parvient à crystalliser l'essence même de leur oeuvre:" And in the end, the love you take, is equal to the love you make"

A juste titre, Abbey Road par sa qualité et son rôle de testament restera gravé dans notre mémoire collective.

C'est comme le canada dry.

Après avoir écouté Genome, il vous reste plus qu'à vous envoyer une balle dans le caisson

ps: touche pas à mon pétrole!

Wallpaper in the sky

Wallpaper toujours dispo en 2 tailles (on va bien finir par comprendre que je fais bien le boulot, et que ça coute pas plus cher d'en faire 2) dou et bitchou

Maxence Charavay Tour #3

Vous étiez tous au rendez vous hier soir, à part burny qui était entrain de graffer à la cité des 4000 avec son srab hamid, et nous vous en remercions. Les photos du concert sont disponibles dans la rubrique "galerie"-"concerts".

J'avoue que nous étions à notre apogée niveau blague et que Louis et Tim nous on fait de bonnes balances (enfin de notre point de vue ça allait, si seulement il n'y avait pas une bande de gros cons entrain de danser devant nous, formant un mur et empêchant le son de passer, s'eu été mieux (sfsfsfsfsf))

Bon à la prochaine

On the wallpaper again

Un autre wallpaper, sobre (il parait que les autres était pas pratiques) mais BN... tjs dispo en 2 taille (désolé pour ceux qui mettent du 12 ans, zam et zoum)

Au fait je me trouvais par inadvertance à la Plage samedi soir, et j'ai vu un groupe pas piqué des huitres... ca s'appelle les Broken Nuts, et ils ont un bassiste qui move à mort! donc pour ceux qui avaient un doute, il ne s'agit pas de la version originale des BN, mais plutôt un spin off des BN (si jeunes, mon dieu!) Pour ceux que ça intéresse, ils parait qu'ils seront encore au même bar samedi prochain

Wallpaper

Aujourd'hui, en rentrant de mes oraux assez claqué, j'avais autre chose à faire que de bosser. Alors planté devant mon PC, j'ai extrait quelques idées pour en faire des Wallpapers BN. Voila, pour ceux qui ne savent pas non plus ce qu'est un wallpaper, ils peuvent aller se faire voir chez les Allobroges cette fois ci.

En tout cas ils sont 2, dispos en 800*600 et 1024*900 chacun. Le premier est dans le même style que le design du style, le deuxième est pour les méchants. J'ai bien envie d'intituler le premier "Glace à la fraise" (comprenne qui pourra, en tout cas voila et voici), et le deuxième "Broken Nuts" pour faire original (paf et pouf)

Coupure de presse

Extrait du LTEM, journal ultra catho ou règne la liberté d’expression :

« Des jeunes talents vus par un jeune talent :

Les BROKEN NUTS Groupe composé de Maxence Charavay, Alexandre Tapiero, Antoine Chaudey

Quand je les ai vu arriver sur scène, pieds nus, la guitare ou les baguettes à la main, j’étais déjà sûr de tenir le bon bout. Ils avaient comme un charisme qui gueulait sans bruit qu’ils allaient faire un carton. Les premiers gémissements de la Fender on jaillis, rageurs, rétifs. Du rock, du vrai, de l’authentique, de celui qui te fait bouger sans même que tu t’en rende compte. On sentait l’expérience du groupe qui a déjà fait des débuts de soirée dans les bars de Lille, on sentait le groupe qui maîtrise son sujet, qui s’éclate sur scène. Une jolie basse à l’ancienne, une six corde à la fois classique et si efficace, un chanteur et batteur qui tenait la mesure avec brio. On a même eu droit à une compo du groupe, avec de jolies montées dans les aigus. On a été gâtés, ça ne fait pas l’ombre d’un doute, ça se sent que c’est un groupe de live., un groupe de reprise, les bons old songs qu’on écoute avec un air mélancolique, les enceintes à fond. Je n’ai plus qu’à souhaiter une longue vie au groupe, peut être un album, en tout cas une reconnaissance bien méritée.

Parce que le Nord aussi a droit à une nouvelle scène rock, merci à eux."

Jean Anot

Concert

Rapel :

Concert Broken Nuts + Nowever + Little Boy, le samedi 4 mars à 20H45 à La Plage (rue Solférino, Lille).

Entrée gratuite...

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